Presse

SOIS UN HOMME

Les trois comédiens (Teddy Bogaert, Sylvain Savard et Laurent Stachnick) se fondent dans des personnages que l’on pourrait croiser au sein du cercle familial ou amical. Ils campent chacun à leur tour tous les âges d’une vie. Ce qui est troublant dans leur jeu est qu’il convient de dire qu’ils ne jouent pas. Ils sont leurs personnages au moment où ils le deviennent, et portent les paroles individuelles de façon universelles. (…) L’ensemble des situations invitent à réfléchir sur ce qui est constitutif d’un homme. Comment le garçon fait-il pour se construire ? Est-ce que seule l’image du père est probante ? Pas si sûr (on pense alors à la tendre scène de ce petit garçon, joué par Sylvain Savard, en dialogue avec un voisin jardinier, campé par Laurent Stachnick). (…) La justesse des comédiens Sylvain Savard et Laurent Stachnick, que l’on avait vus dans les précédentes mises en scène de la compagnie, sont d’une justesse remarquable et embrassent leurs personnages avec envie (…) Laurent Bourbousson – ouvertsauxpublics.fr 2020

Les trois acteurs, Teddy Bogaert, Sylvain Savard et Laurent Stachnick, sont de trois générations mais ils jouent les personnages sans respect de l’âge du rôle, pour amplifier les pouvoirs du théâtre et de l’humour. Ils se transforment en gamins ou en vieux bonzes, modifient sans cesse le décor, dressant des cloisons, montant des cadres, jonglant avec le vertical et l’horizontal. Leur jeu et la mise en scène sont aussi mobiles et (secrètement) rieurs que les sinuosités malignes de l’auteur. Tel un peintre, Ecrepont se sert magnifiquement du nuancier. Gilles Costaz – Webtheatre 2020

Dans une succession de saynètes, Teddy Bogaert, Sylvain Savard et Laurent Stachnick s’emparent des mots de Vincent Ecrepont. Ils leur donnent corps et force. Du père, du vieux, du prof, de l’enfant, de l’ami, ils jouent la partition, dépeignent les rapports sociaux, familiaux et construisent par touche un instantané de notre société. Passant des premiers émois au regard tendre d’un petit-fils sur son grand père, d’un prof en guerre contre ses élèves, d’un père affligé par l’enfermement virtuel de son fils, tout est passé à la moulinette, tout est analysé dans le seul but de définir l’homme d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Olivier Frégaville-Gratian d’Amore. L’Oeil d’Olivier 2020

Dans un jeu d’identification et de distanciation, trois générations de comédiens se confient et incarnent tour à tour des parents et des adolescents dans une vérité et authenticité admirablement restituée. Les trois comédiens Teddy Bogaert, Sylvain Savard et Laurent Stachnick, défendent avec brio leurs personnages. David Rofé-Sarfati – toutelaculture.com 2020

Trois générations de comédiens (Teddy Bogaert, Sylvain Savard, Laurent Stachnick) incarnent tantôt des adolescents, tantôt les adultes qu’ils rejettent ou auxquels ils s’identifient, père, grand-père, prof. C’est de leurs dialogues que naissent des éléments de réponse. C’est très vivant. Micheline Rousselet – SNES 2020

ÊTRE LÀ

L’écriture permet des allers-retours entre la fiction et le réel. C’est avec habileté que l’on glisse d’une partie à l’autre. Quel impact ont ces histoires sur les interprètes ? En posant cette question à ses comédiens, Vincent Ecrepont trouble le jeu. Leurs réponses sont-elles réelles ? Est-ce d’eux qu’ils parlent ou d’autres ? Avec une interprétation sans faille, Celine Bellanger, Véronic Joly et Sylvain Savard s’interrogent pour mieux interroger alors le public. Laurent Bourbousson – ouvertsauxpublics.fr 2019

Comment parler de la fin de vie, de la fuite de la mémoire qui la précède, sans rendre le propos insupportable ? Vincent Écrepont, qui signe la mise en scène, relève le défi. En une dizaine de séquences, avec ses trois comédiens Céline Bellanger, Véronic Joly et Sylvain Savard, il aborde les multiples facettes de ces situations qui sont devenues communes. Gérald Rossi – L’Humanité 2019

Inspiré par des témoignages recueillis pendant trois ans au pôle gérontologie du CH de Beauvais, le texte articule trois histoires différentes portées par un trio de comédiens, Céline Bellanger, Véronic Joly et Sylvain Savard, qui interprètent à tour de rôle la personne âgée, le référent familial et le référent hospitalier. Entre le présent et les traces du passé, entre la pensée et le ressenti, la mise en scène vise à « universaliser l’intime du propos ». Agnès Santi – La Terrasse 2019

C’est dire que les acteurs, Céline Bellanger, Véronic Joly et Sylvain Savard ont toute une série de parties à jouer, incarnant surtout les personnes vieilles et délaissées, mais aussi les visiteurs et le personnel médical. Leur mobilité et leur capacité à sauter immédiatement d’un état mental à l’autre sont étonnantes. Gilles Costaz – Webtheatre 2018

Véronic Joly et Céline Bellanger – et un comédien – Sylvain Savard -, des figures d’une maturité pleinement assumée. Une présence scénique pleine d’humanité – écoute attentive et gestuelle délicate. Véronique Hotte – Hotello 2018

Trois comédiens Véronic Joly, Céline Bellanger et Sylvain Savard, décident de nous faire entrer dans leur vie, ils se transforment, miment, interprètent leur famille à des moments décisifs de leur parcours. Acteurs mais aussi décorateurs, ils réinventent le plateau en tirant, poussant le mobilier pour chaque situation. On se retrouve ainsi en Ehpad, chez un vieux monsieur, en hôpital. Mais ne paniquez pas, tout cela est mené avec humour, gravité, légèreté et à-propos. Les comédiens excellent dans le changement total de personnages, ils deviennent jeunes ou très vieux avec peu d’artifices, une paire de lunettes, une ceinture, un gilet, des talons… et hop ! Ils incarnent celui qui les habite, celui qui souffre ou qui fait souffrir, et surtout celui ou celle qui aime, qui aime bien, qui aime mal. Michèle Cohen – DMPVD (Des mots pour vous dire) 2018

Céline Bellanger, Véronic Joly et Sylvain Savard, prêtent leur voix aux trois « personnages ». Ils intervertissent leurs rôles, enfilent une blouse ou une robe, changent  rapidement de chaussures pour passer tour à tour du statut de personne âgée à celui de fils ou fille ou de soignant. Ils reviennent parfois à leur statut de comédien et nous interrogent. Micheline Rousselet – SNES  2018

Dans un décor sobre, trois comédiens, Céline Bellanger, Véronic Joly et Sylvain Savard, livrent une prestation remarquable en jouant plusieurs rôles. Oubli de l’identité, des souvenirs, perte de repères, ces scènes poignantes sont ponctuées d’échanges pleins d’humour entre les interprètes qui apportent de la légèreté à l’ensemble. Entre rire et émotion, la pièce évoque la douleur de voir son père ou sa mère devenir dépendant. Bouleversant ! Claire Mouzac – La Vie 2018

LES TROMPES DE MA MÈRE (Under the Mom’skirt)

Women’s Day was divided into two groups of films, themed Women Speaking Frankly and Women Challenged. In total, there were 11 films offered as part of the digital presentation for Women’s Day. There were several challenging and interesting depictions of women from around the globe. The first group, Women Speaking Frankly, featured five films that were all quite strong. My favorite of the group, and the day in total, was the short Under Mom’s Skirt. The 12-minute film from director Sarah Heitz de Chabaneix focused on a hilarious mother-daughter interaction. Said mother, Beatrice (Francoise Miquelis), is a French national now living in Florida. Her daughter, Lucie (Sara Verhagen), is visiting from Paris and accompanies her mother to a doctor’s appointment to serve as a translator. It turns out, said appointment is for a gynecologist, which throws Lucie into plenty of uncomfortable translating situations. Heitz de Chabaneix delivers a fascinating and uncomfortable comedy. This one is awkward, but in the best way. I ended up laughing pretty hard, especially when the dad (Sylvain Savard) showed up at the end. (4 étoiles sur 5). Matthew Fox – Poppy Jasper International Film Festival – 2021

JUIN 40

Les élèves ont apprécié la qualité de la pièce, un sujet qu’ils ont bien mieux compris grâce à la qualité de l’écriture et le jeu des comédiens. Ce sont quatre acteurs, Cyril Lévi-Provençal, Danièle Marty, Marc Ségala et Sylvain Savard de la Compagnie du Hasard qui ont joué les discussions et dialogues d’une dizaine de responsables politiques et militaires entre 1939 et l’appel du 18 juin 1940. La Nouvelle République.fr 2020

LE PREMIER

Ici, certes dans la démesure, et avec une bonne dose d’humour, le dramaturge américain le plus joué aujourd’hui en France et les comédiens  Vincent Gillieron, Sylvain Savard, Pierre-Marie Schneider, Guillaume Tagnati, Lou Tordjman (qui ne s’économisent pas), font la démonstration de la possible perversion d’une simple file d’attente. Dans laquelle les premiers peuvent se retrouver les derniers. Evidemment. Au milieu de diverses turpitudes. Gérald Rossi – L’Humanité 2017

Dolan (Sylvain Savard) joue le roublard qui, « mine de rien », attend son heure et ne pense qu’à ça (« Il n’y a qu’une chose qui m’intéresse, c’est le numéro un! ») (…) Dans une mise en scène sobre de Dimitri Dubreucq, on retient la performance d’acteurs très en verve, certains époustouflants, par moments très drôles, toujours dans le rythme de cette ronde cruelle. Le spectacle traduit bien la férocité animale que chacun déploie pour exister. Jacques Vallet – Le Canard enchaîné 2015

Tous – Alban Gérôme, Sylvain Savard, Pierre-Marie Schneider, Guillaume Tagnati, Lou Tordjman – sont remarquables et la pièce, en grande partie, repose sur leur présence électrique et leur jeu très physique.  Élishéva Zonabend – Reg’Arts 2015

FROU-FROU LES BAINS

Une bonne dose d’humour, une intrigue qui tient en haleine, des chants, de la musique, du mouvement, des acteurs qui ont de la présence et pour lier le tout, une mise en scène excellente et des décors qui sortent de l’ordinaire. (…) La salle bien remplie a trouvé son plaisir dans les réparties des personnages magistralement campés: le directeur (Sylvain Savard) et sa fille à marier (Laura Marin) (…) La Montagne 2019

TCHÉKHOV CONTRE TCHÉKHOV (La demande en mariage & L’ours)

Belle prestation de Laurence Carnesecca, Elisa Weisselberger, Sylvain Savard et Ahmed Serend qui a assuré la mise en scène. (…) Les comédiens, sur une mise en scène inspirée, ont donné du relief au texte de l’auteur russe. Lyliane Mosca – L’Est éclair 2016

SARAH ET LE CRI DE LA LANGOUSTE

Coup de cœur rétais du dernier Festival d’Avignon 2012. (…) L’exercice est périlleux. Maria Naudin et Sylvain Savard sont deux et beaucoup plus nombreux. Ils vivent et jouent cette passion de la scène au cœur du sujet. Une comédienne qui joue une comédienne. Un comédien professionnel qui joue un comédien amateur. Le crépuscule de cette vie devient aussi émouvant qu’éclatant. Blandine Giambiasi – Le Phare de Ré 2012

Maria Naudin (…) sincèrement touchée à l’évocation du mariage piteusement manqué de son secrétaire (Sylvain Savard toujours convaincant) (…) Célèbre et fascinante pour ses colères, ses fureurs et ses scandales, Sarah se révèle plus intimiste et mélancolique. Sophie Lespiaux – Une chambre à soi (blog) 2012

Pour jouer ce duo au fil des émotions, on attend des interprètes chevronnés. Et ils sont là. Sylvain Savard est un docile Pitou, serviteur-confident attentif, capable d’endosser les rôles les plus extravagants que lui impose sa patronne à la mémoire frileuse (…) Jean-Louis Châles – La Marseillaise 2012

On est pris alternativement entre émotion (…) et rire. Sylvain Savard en Pitou, en Oscar Wilde, en religieuse, en amant (…) Un spectacle assez époustouflant. Leventselève2012 –  blog.mediapart.fr 2012

Sylvain Savard et Maria Naudin ont porté haut et avec beaucoup d’émotion les souvenirs de Sarah (…) Drôles et bouleversants, Sarah et Pitou (Sylvain Savard, excellent lui aussi) forment un couple pathétique dans lequel Pitou joue les rôles que la tragédienne lui impose pour revivre ses souvenirs les plus tenaces. Il est tour à tour Judith, la mère (…) l’Américain Mr Jarrett (…) ou encore Jacques Aristide, son mari (…). Face à ses rancœurs, regrets, bonheurs oubliés et passions perdues, la présence soumise de Pitou est rassurante et complice. Lionel Reynier – L’Est-éclair 2012

Scénographie ambitieuse, pour ce face-à-face drôle et émouvant entre Sarah Bernhardt (Maria Naudin) et Pitou (Sylvain Savard), son majordome.  MJ.-M. Van Houtte – Libération Champagne 2011

ROMÉO ET JULIETTE

Sylvain Savard et Julie Quesnay sont remarquables, lui de profondeur, elle de puissance, en époux Capulet. Nicolas Arnstam – Froggy’s Delight 2011

Entourés par d’excellents seconds rôles, Roméo et Juliette se livrent à la passion dévorante de leur amour. (…) Les comédiens de la compagnie du Vélo Volé se connaissent depuis longtemps, leur complicité dans cette pièce jouée à 100 à l’heure ajoute à la performance. Ouest-France 2014

LES QUATRE MORTS DE MARIE

Céline Jorrion est déconcertante par sa capacité de métamorphose : tour à tour fraîche et naïve (…) elle incarne avec grâce la fragilité et la complexité du personnage. Elle est entourée de quatre comédiens, Julie Quesnay, Grégory Corre, Guillaume Tagnati et Sylvain Savard se glissant efficacement dans les différents seconds rôles, offrant ainsi un panel de l’humanité à la fois cocasse, émouvante, absurde. Nelly Bourriche – La Marseillaise 2013

Marie (Céline Jorrion) est entourée de quatre autres très bons comédiens (Grégory Corre, Julie Quesnay, Sylvain Savard et Guillaume Tagnati). C’est un spectacle émouvant et troublant. Jeanne-Marie Guillou – bonplantheatre.fr 2013

Il ne faudrait pas oublier de mentionner l’excellent travail réalisé sur la scénographie et bien évidemment les compagnons de route de Céline Jorrion, Sylvain Savard en tête, Rafael Reves, Julie Quesnay et Guillaume Tagnati qui jouent en alternance avec Cécile Leterme et Fabrice Leroux. Dimitri Denorme – Pariscope 2008

Julie Quesnay, Fabrice Leroux et Sylvain Savard complètent une distribution pleine d’allant, une mention spéciale au dernier, parfait dans son rôle de père vidé de sa substance. Morgan Le Moullac – ruedutheatre.info 2007

LE DÉCLIC DU DESTIN+LE PROBLÈME AVEC MOI

L’acteur Sylvain Savard, directeur artistique et co-fondateur du Bafduska réalise une véritable performance sur deux textes contemporains de Larry Tremblay. Le rythme soutenu et la voix du comédien tiennent le public en haleine pendant près de deux heures d’un monologue aussi fantasque que passionnant. Nathalie Hubert – Le phare de Ré 2009

C’est une délicieuse gourmandise que nous propose Sylvain Savard avec « Le déclic du destin ». Et c’est avec une faim de loup que nous dévorons, à pleine(s) dent(s), sa douceur chocolatée qui déclenche en nous un éclair de lucidité. Dans ce conte fantastique, Léo est à la poursuite de son corps morcelé et de son Moi profond. Tour à tour drôle, tendre, sensible, enjoué, Sylvain Savard se plie en quatre pour notre plus grande joie. Béatrice Chaland – Le rideau rouge 2006

COUPLE OUVERT À DEUX BATTANTS (Récits de femmes)

Sylvain Savard caricature avec dextérité et application le mari libertin, enclin à des amours répétées qui n’en sont pas. Ses maîtresses sont l’objet d’un désir sexuel temporel, un assouvissement à la jouissance de derrière un buisson, un petit coup et puis s’en va. Le comédien excelle dans ce rôle et déploie une énergie constante, même terrassé par la nouvelle que lui invective Antonia. Philippe Delhumeau – La théâtrothèque 2010

Les décors sont simples et la vitalité de la pièce repose sur des acteurs particulièrement convaincants, Sylvain Savard interprète avec une remarquable justesse le mari volage et possessif. paris.over-blog.com  2011

Les intermèdes sont chantés et dansés par les comédiens eux-mêmes. De très belles voix pour des chansons italiennes qui nous plongent avec efficacité dans l’univers décalé et engagé de Dario Fo et Franca Rame. Les trois comédiens, Cécile Leterme, Lou Tordjman et Sylvain Savard, déploient une belle énergie au service du texte et du message politique de ces partitions. Alice Dubois – Notre scène 2010

Trois comédiens maîtrisant parfaitement l’art du chant et de la comédie, Cécile Leterne, Lou Tordjman et Sylvain Savard, nous entraînent dans la désolation machiste et l’univers de la mauvaise foi. F. Aïm – paris.fr 2010

(…) une femme (Lou Tordjman) qui découvre que le couple, fort déconstruit, auquel son mari aspire comme un affranchissement unilatéral (Sylvain Savard, parfait en salaud lâche et détestable) (…) Amandine Agic – www.froggysdelight.com 2010

Sylvain Savard assume d’une façon convaincante le rôle de Massimo, l’oppresseur mâle, comme mari d’une Antonia désespérée et suicidaire dans cette dernière histoire. Pierre Tran – Up to date 2010

PEAU D’ÂME

Les deux acteurs sont tout simplement formidables. Sylvain Savard, en Garçon doré, susurre le texte à nos oreilles et lui donne du relief en empruntant une voix étrange et captivante d’un homme-enfant. Moussa Kobzili – Théâtrorama: le panorama du spectacle bien vivant 2010

Le rire naît malgré tout de l’interprétation des acteurs, les formidables Nadine Girard et Sylvain Savard, qui se livrent à une joute verbale joyeuse et généreuse, tantôt complémentaires, tantôt antagonistes. Marie-Pauline Mollaret – Écran noir 2010

Peau d’âMe avec un M Majuscule car tout est Majeur dans ces MoMents Merveilleux. Magnifiquement écrits et Mis en scène par Benoit Gautier. Magistralement interprétés par Nadine Girard et Sylvain Savard. Béatrice Chaland – Le rideau rouge 2010

L’écriture poétique et raffinée du texte comme du spectacle est servie par un acteur enchanteur, avisé et dégourdi, Sylvain Savard. Un spectacle à l’onirisme inventif.  Véronique Hotte – La Terrasse 2000

Sylvain Savard est un grand enfant qui laisse courir son imaginaire au fil de ses lectures des œuvres de Perrault. Cet imaginaire lui fait revêtir la peau de ses multiples personnages, qu’il incarne avec humour et émotion. Joan Amzallag – Le Monde interactif 2000

Au Guichet Montparnasse, Benoit Gautier met en scène le fruit de son imagination Peau d’âMe où le rêve et la réalité ne font qu’un. Il y dirige un Sylvain Savard vibrant de sincérité et de poésie. Béatrice Chaland – Le rideau rouge 1999

LE MARIAGE DE FIGARO

Le mariage de Figaro. Une folle journée, vraiment ! Les plus badines des intrigues se muent en une fable joyeuse, surtout quand le burlesque vient castagner le vaudeville. (…) Il ne faudrait pas oublier pour autant les compositions de Julie Quesnay et de Guillaume Tagnati, impayables dans les rôles du comte et de la comtesse. Matila Malliarakis, lui, est un sautillant Chérubin. Anne Trémolières, Laurent Suire, Sylvain Savard et Jean-Baptiste Guinchard ne sont pas en reste pour nous faire vivre une délicieuse soirée. Dimitri Denorme – Pariscope 2009

TU M’AIMES-TU? SCÈNES DE COUPLE AU QUÉBEC

Dans ce vaudeville psychodrame relevé à la manière québécoise, les deux comédiens, Lorelei Taillefer et Sylvain Savard, se dépensent sans compter, nerveux, trépidants, convaincants dans leur dilemme, irrésistibles avec cet accent et ces expressions surannées qui nous rappellent le patois de certaines de nos campagnes françaises. Jean-Pierre Cramoisan – La Marseillaise 1999

La saveur de ce spectacle léger et vivifiant, c’est l’écriture de Benoit Gautier, rapide et drôle, juste et jamais vulgaire, sur laquelle valsent deux formidables comédiens, Lorelei Taillefer et Sylvain Savard. Un moment de pur plaisir. Hélène Kuttner – Politis 1998

«Tu m’aimes-tu ?»: une mise en scène rafraîchissante, des acteurs pétillants. Remercions-les : Lorelei Taillefer et Sylvain Savard. Leurs interprétations sont sensuelles, généreuses et sincères. Avec eux le plaisir est immédiat. «Tabernacle !» Voilà un spectacle qui a du chien ! Mag Jaïe – Agorapièces 1998

Benoit Gautier explique qu’il a réalisé le spectacle pour les acteurs: Louise Lavictoire et Sylvain Savard. Il a eu raison. Ils sont épatants. Ils ont la poésie des couples de Peynet. Mais en plus noire. Dominique Darzacq – Journal du théâtre 1997

LES JOURS HEUREUX

La voix du Visiteur, Sylvain Savard, est modulée, tout en finesse, en douceur, ne variant que peu en intensité donnant « dans le velours » comme en regard de celle du Prisonnier, William Della Rocca (…) Des voix qui émeuvent jusqu’aux tréfonds : il n’en fallait pas moins pour servir le texte d’Hugo Marsan. Isabelle Roche – lelitteraire.com 2005

QUAI OUEST

Par sa mise en scène,  François Ha Van nous conduit à la découverte de cet endroit totalement trouble et déstructuré.  Entre effets de surprise et émotion,  Marie-Françoise Audollent,  Cécile Leterme,  Jean-Claude Owana-Manga, Rafaël Reves,  Raphaëlle Sahler, Sylvain Savard, Guillaume Tagnati, Nicolas Teuscher, Michel Toty nous livrent une belle interprétation de cette comédie noire. Lise de Rocquigny – Pariscope 2004

IL FAUT QU’UNE PORTE SOIT OUVERTE OU FERMÉE

Benoit Gautier signe une adaptation et une mise en scène légère, alerte, qui n’appesantit pas le texte. La représentation est menée tambour battant. Pas de dentelle non plus chez les deux comédiens Valérie Valmont et Sylvain Savard qui s’emparent du texte au pas de charge dans ce jeu verbal plutôt vif. Denis Sanglard – rivesdescenes.com 2001

UN COUPLE D’ENFER

Dire que ce spectacle est réjouissant serait peu dire. On peut parler d’acteurs remarquablement dirigés et pleins de drôlerie. La poésie, l’humour et le burlesque réunis. Alain Fetet – Zurban 2000

Tout y passe dans cette pièce constituée de petites saynètes de la vie quotidienne. Le discours est admirable et la prose parfaite (…) Les différents couples ne semblent faire qu’un. Seul l’extinction des lumières à chaque acte permet de distinguer les différentes situations, puisque le décor ne change pas. Le rythme est donné par l’interprétation intéressante de Sylvain Savard. (…) L’interprétation de Sylvain Savard dans le rôle du mari jaloux est très juste. Joan Amzallag, Le Monde interactif 2000.

Les personnages sont interprétés dans leur vérité, simplement, généreusement. Sylvain Savard est bien mauvais dans le premier sketch du monsieur qui attend une dame rencontrée dans une galerie de peinture. Ça s’arrange après. Il a même des moments très drôles. Jean-Luc Jeener. Le Figaroscope 2001.

TAPATOUDI

Habilement agencé et mis en scène par Anouch Paré, Tapatoudi redonne des couleurs au dictionnaire. Quatre comédiens (Nadine Marcovici, William Della Rocca, Sylvain Savard, Lionel Muzin, Guillaume Briat, ces deux derniers en alternance) déploient une folle énergie et défendent, en rigolant, notre langue avec délectation. Semaine des spectacles Provence Côte d’Azur 1994.

IL CAMPIELLO

Que c’est beau, Goldoni ! Non, Laurent Serrano et ses comédiens ne l’ont pas trahi. Ils ont su avec lui extraire les saveurs des choses simples, piocher dans les petits bonheurs le filon de la mélancolie et dans l’unité d’un lieu le charme du temps. Même ceux et celles qui doivent composer des personnages plus âgés Nicole Fallet, Claire Zuber, Cécile Leterme ou Sylvain Savard finissent par convaincre : on oublie le fard, le folklore, les oripeaux. Frédéric Ferney – Le figaro 1995

L’affaire est bien menée. Les dix acteurs : Julien Muller, Bobette Lévesque, Cendre Chassanne, Nicole Fallet, Marion Maret, Claire Zuber, Cécile Leterme, Marc-Michel Georges, Julot Gillet et Sylvain Savard ont de l’attaque et du répondant. La mise en scène de Serrano ne triche pas avec Goldoni et lui donne sa meilleure humeur. Gilles Costaz – Le nouveau Politis 1995

C’est vif, c’est frais et surtout sans prétention. C’est joué dans l’élan d’une troupe qui fait corps et fonce ! Les acteurs ont la fougue et la finesse qui conviennent : ils échappent à la caricature mais donnent une épaisseur dramatique intéressante aux personnages de cette comédie chatoyante. On retrouve avec plaisir Marie-Laure Dougnac (la fille du boucher de « Delicatessen »). On découvre ses camarades qui mériteraient tous citations : Cendre Chassanne (et Doris Steibl en alternance), Cécile Leterme, Claire Zuber, Marion Maret, Clarisse Lernout, Julot Gillet, Marc-Michel Georges, Gil Bourasseau et Sylvain Savard. A suivre ! Armelle Héliot – Le quotidien de Paris 1991

MÉLUSINE RÉVÉLÉE OU LA TENTATION D’AIMER

Sur une scène où les acteurs évoluent sans décor, dans un site naturel particulier, Sylvain Lhermitte a fait appel à des acteurs polyvalents qui dansent et chantent à la fois. Christine Gerbaud, Nathalie Nano, Sylvain Savard, Jean-Louis Berdat et Philippe Rigot sont admirables et débordants de talent. Une comédie musicale qu’il faut aller voir. La Nouvelle république du Centre Ouest 1992

COMME IL VOUS PLAIRA

La mise en scène de Jean-Christophe Barbaud suscite avec une grande économie de moyens une atmosphère ludique et humoristique propre à la pièce, interprétée avec talent par de jeunes comédiens, parmi lesquels on remarque particulièrement Cendre Chassanne, lumineuse en Rosalinde, Cécile Leterme en Célia, Thierry Adam en Orlando, François Mécili en Silvius et Jacques, Laurent Serrano en Charles et Pierre des Touches et Sylvain Savard en Vieux duc, Frédéric et Adam, le vieux serviteur d’Orlando. Thierry Bayle – Le Quotidien de Paris 1989

LES FAUSSES CONFIDENCES

Deux comédiens émergent : François Mécili et Sylvain Savard. Deux présences indéniables, deux natures de comédiens authentiques, qui donnent un ton à ce spectacle. Pierre Rousseau – Paris-Normandie 1989

 

Les commentaires sont fermés.